Steve McQueen a donc choisi pour son troisième long métrage de traiter de l'esclavage par le prisme du calvaire qu'a vécu Solomon pendant douze (d'où le titre), on ne peut donc être qu'impatient étant donné l'excellent travail qu'il a fourni sur Hunger et Shame, ses deux précédents films. Hunger nous narrait la longue détention du leader de l'IRA, Bobby Sands. Shame, lui, faisait le portrait d'un cadre d'une entreprise new-yorkaise en proie à des pulsions sexuelles toujours plus répétés. Ces deux films ont bien une chose en commun (outre le fait que Fassbender y tienne les rôles principaux), c'est bien ce naturalisme avec lequel Steve filme ses scènes. Ce qui faisait presque passer Shame pour un film pornographique. Nul doute que le jeune réalisateur saura traiter le thème de l'esclavage dans 12 Years A Slave à la perfection, du moins on l'espère.
Bon, je vais arrêter de faire semblant. J'attends surtout ce film parce-que le mec a quand même eu les couilles de citer dans la bande-annonce un de mes passages préférés de la Bible, citation qui rappelle aussi à quel point c'est un livre humaniste : "That servant who don't obey his Lord [...] shall be beaten with many stripes" Bon, c'est pas la vraie citation mais on s'en fout (ça doit être quelque part dans Luc). Et ouais, ça titille ma petite fibre niggatheist.
Au final, espérons simplement que ce film saura éduquer toute une génération de jeunes gauchistes ignorants comme a su le faire La Rafle en son temps, parce-que c'était bien sympa Django mais c'était pas larmoyant pour un sou et puis il se fait vieux Kunta Kinté.
Alors pitié allez voir ce film à sa sortie en salle, ça l'aiderait peut-être un peu vu comment il pue l'Oscar à trois kilomètres.
Bon, je vais arrêter de faire semblant. J'attends surtout ce film parce-que le mec a quand même eu les couilles de citer dans la bande-annonce un de mes passages préférés de la Bible, citation qui rappelle aussi à quel point c'est un livre humaniste : "That servant who don't obey his Lord [...] shall be beaten with many stripes" Bon, c'est pas la vraie citation mais on s'en fout (ça doit être quelque part dans Luc). Et ouais, ça titille ma petite fibre niggatheist.
Au final, espérons simplement que ce film saura éduquer toute une génération de jeunes gauchistes ignorants comme a su le faire La Rafle en son temps, parce-que c'était bien sympa Django mais c'était pas larmoyant pour un sou et puis il se fait vieux Kunta Kinté.
Alors pitié allez voir ce film à sa sortie en salle, ça l'aiderait peut-être un peu vu comment il pue l'Oscar à trois kilomètres.
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